L'homme face a la mer

Cette synthése est le fruit d'un documentaire passé recemment sur la chaine Frace 3. Il met en lumiére l'inquiétude de la communauté scientifique mondiale sur le sort de ce gisement qu'on croyait jadis intarissable. En effet, il a été constaté a travers le monde, l'épuisement graduel et accéléré de cette richesse et la disparition quasi totale de plusieures espéces. Il s'avére que l'homme est le principal destructeur de cette nature, source de survie à 200 millions d'habitants. La surpéche estimée a 100 millions de quintaux par an, conjuguée à d'autres nuisances notemment les rejets à la mer sans traitements des nitrates contenues dans les angrais et les déjections des animaux ou les vidanges et autres substances tension actives ( savon) finiront dans 30 à 50 ans a transformer ces mers et océans en des endroits stériles et invivables. Meme la végétation marine(algues) ou les récifs coralliens ne sont pas épargnés. Il est a noter, que le corail est considéré comme un animal vivant et non un caillou. Du reste, les quelques zones zones riches en poissons d'afrique existantes sont envahies par des bateaux européens et asiatiques. Il est a relever que la consomation japonaise en poisson est de 70 kg/personne/an contre 35 pour la France et 6 pour l'Algérie. Nous assistons donc a un pillage systématique et criminel des richesses africaines par des puissances étrangéres: 60% de la consomation européenne sont péchés ailleurs! et 70% de la production au niveau de l'afrique sont l'oeuvre de bateaux étrangers. Que faire donc devant cette catastrophe économico-écologique quand on sait que 30 % des variérés de gros poissons ont disparus en 70 ans, que des crabes géantes pésant jusqu'a 12 kg du détroit de Barring sont en voit de disparition malgré une forte reproduction ( 40000oeufs/an/crabe) vu que le prix est de 100 euros/kg a Tokyo.Les scientifiques et greenpeace se retrouvent devant une équation inextricable, surtout pour la méditérrannée où 80 % des rejets ne sont pas traités et qui a connue 20 marées noires majeures en 30 ans. L'acquaculture ( 50 % de la productoin mondiale) dont certains la présentent comme une solution de rechange est vite décriée puisque 'il faut 4 kg de poissons sauvages sous forme de farine pour créer 1 kg de
poissons d'élevage.Où irons nous, tant que cette faune demeure irrascible et les politiques amorphes?