Fête gachée !

Pour moi,la fête de l'Aïd a été un peu gachée par la coupure d'eau qui est tombée ce matin de l'Aîd comme un cheveu sur la soupe.J'ai été au comble de la révolte quand j'ai ouvert le robinet et constaté qu'il n y avait pas d'eau!!! Qui a eu la méchante idée de nous couper l'eau le jour d'égorger le mouton,le jour où l'on a le plus besoin de l'eau courante? Je ne chercherai pas à le connaître car je sais que celui qui a eu cette idée ou qui a été la cause de cette coupure par sa négligence et son incopétence n'est pas un "wlid familia"comme on dit.
Bref,on s'est débrouillé comme on a pu et le mouton a été egorgé et dépecé dans les régles de l'art et tout en faisant notre travail on a dit tout le mal qu'on pouvait sur les services de l'ADE qui nous ont envoyé les factures deux jours avant l'Aïd et qui nous ont coupé l'eau la matinée de cette journée sacrée.
L'après-midi,l'eau est revenue dans les robinets pour nous conforter dans l'idée que le coup a été prémidité.
Et puis,ce jour de fête,il n y avait ni lait,ni pain.Le transport était quasi inexistant,et tous les cafés avaient baissé rideau.
on dirait que c'était un jour de grève générale et pas un jour de fête.

Merci Amghar de ce constat amer de la vie quotidienne des Dellyciens. Effectivement, comme chaque année, pendant les fêtes de l'Aid (Fitr et Adha), les commerçant baissent les rideaux alors qu'un service minimum devait être assuré.

Heureusement que les hôpitaux et la protection civile ont assuré leur service comme d'habitude.

Oui,Nous fumes très gênés par la coupure d'eau survenue la matinée de l'Aïd et à laquelle nous ne nous attendions guère.Couper l'eau courante durant cette journée est impardonnable.Mais c'est leur façon à eux,les rustres qui gèrent l'eau à Dellys, pour nous dire "Saha Aïdkoum".
Merci pour le cadeau.On s'en souviendra toujours.

Mes chers amis,
Je partage parfaitement vos frustrations.
Les grands commerces peuvent fermer mais les petits devraient rester ouverts notamment pour les besoins essentiels et n'oublions jamais de penser à nos malades.
Je sais qu'à Alger, à l'époque le même problème pour les magasins se posaient mais beaucoup de travailleurs (boulangers, serveurs,..) venaient de l'extérieur d'Alger et allaient chez eux (kabylie, Miliana, Chlef, etc.) passer les fêtes avec leur famille.
Salam
Larbi