TAOURGA News...!!!

BOUMERDÈS: 700 millions de centimes pour l'AEP à Taourga

L'on a appris de la bouche du premier magistrat de la commune de Taourga, R. Attouchi, que la rénovation du réseau de distribution d'eau potable dans les villages de Mazer et d'El Kodiat coûtera à la trésorerie publique une enveloppe financière de l'ordre de 700 millions de centimes. «Nous voulons à tout prix résoudre le problème de l'alimentation en eau potable, problème qui se pose avec beaucoup d'acuité pour la population du Sud de la municipalité, avant l'arrivée de la saison des grandes chaleurs. » nous dira d'emblée R. Attouchi, le maire de Taourga qui profitera de notre présence sur les lieux pour aborder le sujet de l'habitat rural en nous disant que l'Etat doit s'impliquer davantage en accordant plus d'intérêt à l'habitat rural, seule solution à même d'éliminer le problème du logement. Pour notre interlocuteur, la présentation d'un certificat administratif délivré par les services de l'APC au lieu et place de l'acte de propriété exigé, est la seule et unique alternative surtout quand on sait que sont nombreuses les personnes qui ne détiennent pas d'acte de propriété. Concernant toujours ce volet, l'habitat en l'occurrence, notre interlocuteur nous dira que les travaux de réalisation de 150 logements des 250 unités octroyées pour la comme de l'ex-Horace Vernet dans le cadre du séisme, ont été entamés tambour battant depuis quelques mois déjà et connaissent à l'heure actuelle un taux d'avancement des plus appréciables. Enfin, dans le secteur de l'éducation, le maire de l'antique Tigist nous révélera que sa municipalité a bénéficié d'un CEM Base 6 dont les travaux de réalisation sont prévus dans un futur proche.
A. Massinissa
Source: Le Courrier d'Algerie du 02.05.2010

BOUMERDÈS: Des sangliers et des loups enragés envahissent Taourga!

Les contrées Sud de la commune de Taourga, connaissent depuis quelques semaines une « invasion » dangereuse d'une meute de loups et de sangliers à la fois affamés mais également et surtout enragés. Pour parer à une éventuelle propagation de la rage sur le territoire de la municipalité qu'il préside, le premier responsable de la commune de l'ex-Horace Vernet qui a contacté Le Courrier d'Algérie, a programmé une campagne de vaccination à grande échelle. Notre interlocuteur qui paraissait grandement inquiet de la dangereuse situation née de la présence en masse de ces animaux sauvages porteurs de virus de destruction massive, estime qu'une opération d'abattage s'avère comme une nécessité incontournable pour éviter l'irréparable. Quant aux citoyens que nous avons approchés, eux, n'iront pas par quatre chemins pour exiger la récupération de leurs fusils de chasse afin de se défendre et d'éliminer ce danger mortel. «Nous espérons que les autorités n'attendront pas notre extermination pour décider à répondre favorable à notre de demande pressante», ajouteront d'un ton railleur les citoyens de la commune de l'antique Tigist.»


A quand une amélioration du cadre de vie du citoyen à Taourga

«Au moment où de nombreuses communes aisées ont bénéficié d'enveloppes financières conséquentes destinées à l'amélioration du cadre de vie de leurs citoyens, notre municipalité qui est dépourvue de sources de revenus, continue de broyer du noir en la matière.», dira le premier magistrat de la commune de Taourga. Et d'ajouter avec beaucoup d'amertume : «l'absence de mannes financières contraint en 2010 les citoyens à user encore et toujours de… bottes pour quitter leur demeure tant la boue est omniprésente.» Et d'enchaîner le regard rivé sur un point invisible : «Pour parvenir à améliorer le cadre de vie du citoyen, la DUC, exige une étude dans ce sens ; or, l'élaboration de cette dernière exige de l'argent.» Le maire de Taourga après un grand ouf de … réprobation invitera la DUC à ne pas user du : deux poids deux mesures. Le message de notre interlocuteur est on ne peut plus clair. Seulement, son destinataire sera-t- il (la DUC, ndlr) en mesure de le comprendre ?

A. Massinissa
Source: Le Courrier d'Algerie du 08.05.2010

TAOURGA: Une décharge publique à proximité d'un chateau d'eau !

Àl'approche des grandes chaleurs, les risques de maladies à transmission hydrique se multipient et se propagent à une vitesse grand V causant sur leur passage des ravages aux conséquences imprévisibles. A Taourga, commune située à 85 Km à l'Est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès, la présence d'une décharge publique se trouvant à quelques mètres seulement du chateau d'eau alimentant une partie de la municipalité, risque de coûter très cher à la santé d'une population qui ne semble nullement inquiéter outre mesure et peut provoquer des conséquences désastreuses car ce danger réel guette quotidiennement. Pour éviter que l'irréparable ne se produise, les autorités locales sont appelées à trouver des solutions rapides, efficaces et durables à ce problème qui se pose, faut-il le préciser, avec beaucoup d'acuité.
A. Massinissa
Source: Le Courrier d'Algerie du 11.05.2010

Echourouk 6.5.2010