Nos parents et nous !

Le quotidien arabophone « Echouroouk » a rapporté dans son édition de ce jeudi, 6 août 2009, un fait divers marquant.Un vieux de 62 ans a passé à tabac sa vieille mère âgée de 81 ans.La scène s’est passé à Annaba et avait pour motif un différend sur un héritage laissé par le défunt père du vieil homme.
Si c’était un jeune qui aurait été le coupable, on aurait pu mettre son acte impardonnable sur le compte de l’irréflexion et de la frivolité, mais que la chose vienne d’un vieux, on ne peut que la blâmer avec rigueur.Le coupable n’a aucune circonstance atténuante.
Celui qui lève la main sur son père ou sur sa mère est un méchant, un sans-cœur, un suppôt du diable.
Nos parents ont beau avoir un caractère difficile et autoritaire, être acerbes, hargneux et irascibles, on ne leur doit, malgré tout, que respect, tendresse et vénération.
Il faut avoir beaucoup de patience avec ses parents et ne jamais cesser d’être obéissant et reconnaissant à leur égard , car comme dit Vauvenargues : « L’ingratitude la plus odieuse…est celle des enfants envers leurs pères ».

Salut

Par l'unanimité dans toutes les religions ,les lois, les traditions...la place des parents et sacrée dans l'esprit des enfants.

Chez nous nombreux sont les parents qui sont à l'origine du malheur de leurs enfants, à cause d'un mauvais traitement qui est le plus souvent de type " déctaturial", l'enfant est la propriété absolue des parents,
le mauvais traitement des enfants envers leurs parents est une conséquence logique du traitement séver et hostile des parents.
Que chaqu un vive son temps ,et ne pas imposer un tel modele de vie à ses enfants, et ne pas prétendre etre forts le faite d'accomplire un acte animalière pour avoir des enfants,il y aune grande responsabilité qui les attend.
ce qui est incapable d'assumer la responsabilité ,il vaut mieux de rester en célibat au lieu d avoir une progénuture que conduit la nation au chaos,comme la notre.

Salam,
C'est bien dommage et c'est écoeurant.
Laissant cet homme ingrat face à sa conscience!
Larbi

Salem;

aw yekdheb 3lik a wlid echikh, machi awled ourmi letrik,
elmess-ouliya s3iba,
la civilisation ,c est les bonnes moeurs ,la bonne éduquation, d'où les parents jouent un rôle prémordiale afin de les assurer,

dis moi khouya el3arbi? dans notre religion est ce que les enfants ont des droits de la part de leurs parents, !!

Il y a une très grande part de vérité dans ce que tu as écrit ,si_eldjen.Si les enfants doivent être obéissants envers leurs parents,ces derniers ,en contrepartie ,doivent écouter et comprendre leurs enfants.Ils doivent subvenir à leurs besoins et leur donner toute la tendresse et tout l'amour nécessaires à leur équilibre mental et affectif.Ils doivent les laisser vivre leur vie et leur temps.Les parents démissionnaires,les parents sévères,les parents autoritaires,ne feront jamais des enfants équilibrés et bien dans leur peau.
la responsabilité des parents devant l'Eternel est grande.
Et si on ne peut pas faire face à la responsabilité de fonder une famille,l'assumer complètement, mieux vaut alors rester célibataire.
Mais j'insiste toujours à croire et à dire que nous devons vénérer nos pères et mères même s'ils sont méchants et insupportables,si ce n'est pas pour eux,ce sera pour Dieu qui nous a recommandé obéissance et bienveillance envers eux.

Il tue sa mère pour 200 DA.

Les habitants du quartier Lekichi, à Jijel, ne sont pas près d’oublier la journée de vendredi dernier. Une journée qui les a plongés, encore une fois, dans la triste série noire des meurtres. Cette fois-ci c’est un parricide qui vient d’être commis. En effet, un adolescent a poignardé sa mère alors qu’elle refusait de lui donner de l’argent pour se procurer sa petite dose de drogue quotidienne. C’est une dispute qui a déclenché cette crise de folie de la part de l’adolescent lorsque ce dernier a demandé à sa mère de lui donner la petite somme de 200 dinars afin de subvenir à «son manque» Or, la maman a hésité à lui remettre la somme demandée, ce qui a provoqué chez le jeune garçon une crise de démence jusqu’à tuer sa propre mère en lui portant plusieurs coups de couteau au ventre entraînant son décès. Aussitôt après, le délinquant s’est enfui vers les hauteurs des montagnes de la région, plus exactement aux Selma dans le but de rejoindre les groupes terroristes de la ville de Jijel où il fut arrêté par les autorités locales. Bien sûr, tuer sa mère est de la folie pure. Voilà où on en arrive avec des personnes accros à la drogue. Quoi qu’il en soit, une femme est morte et la vie d’un adolescent brisée. Il n’y a pas de faits divers, il y a des tragédies modernes, et elles se sont déroulées près de chez nous. Les mots pèsent lourd, quand ils évoquent cette terreur de proximité. La maman n’a pas été tuée par un ami, un voisin mécontent ou encore par un terroriste mais par son propre fils. La consommation de la drogue s’est propagée d’une façon alarmante et a pris de l’ampleur en milieu juvénile en Algérie, ce qui nécessite la mobilisation de tous pour lutter contre ce fléau.



Khalida ABBANI

L'Expression.

31 Août 2009

C'est malheureux et désolant ! Arriver à tuer sa propre mère pour une poignée de Dinars est un acte ignoble.

Voilà le bien que rendent les hommes à leurs mères,et à la femme en général.Avoir pareil enfant c'est mettre un serpent dans sa poche.pareils actes me dégôute du mariage et de la procréation.