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Sujet: Les religions du monde Sam Fév 14 2009, 12:30
JUIF ... SIONISTE: La différence...?
Un témoignage intéressant d'un rabbin Juif à voir avec ouverture d'esprit et loin du chauvinisme religieux S.V.P.:
Salutations James
elkoss
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Sujet: Re: Les religions du monde Sam Fév 14 2009, 12:47
Pour nos amis qui ignorent la différence entre juifs et sionistes, ces derniers tirent leur nom de la ville suisse de sion .Certains juifs se sont rassemblaient dans cette ville pour décider de la création d'un état en palestine ,appelé israel.a noter que certains juifs aux USA et ailleurs,sont farouchement contre la création d'israel et ce conformément a leur religion qui interdit la création de tout état juif. J'en revenait pas quand j'ai vu dans un documentaires des rabbins aux USA niant l'existence d'israel.
ansem
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Sujet: Re: Les religions du monde Dim Fév 15 2009, 06:08
merci jemes pour cette vidéo ... et merci elkoss pour ces explication ... a vrais dire , je savais pas qu'une telle différence existé entre les juif et les sionistes , je sais qu'il ya une minorité juife a Israël et dans le monde qui n'ont pas aimer les génocide juife a gaza , mais je voyer leur mécontentement envers tout ça et due a la défonce des droits de l'homme si tout , mais cette video montre plus que ça , au delà de gaza , pour vous dire la verité j'ai jamais pensé qu'il existé des juife qui ne voulais pas voire Israël comme une état , et même , des rabbins niant l'existence même de Israël .... je vous invite a voire cette vidéo , qu'un ami m'a invité a la voire ... et admiré le courage de Mr collon ....
Nombre de messages : 431 Age : 46 Loisirs : lecture, musique(pop,rock) internet Date d'inscription : 05/01/2008
Sujet: Re: Les religions du monde Dim Fév 15 2009, 06:23
Le destin d’Israël: Leçon d’histoire
La hargne exprimée par l’agression génocidaire de l’Etat d’Israël à l’égard du peuple palestinien à Ghaza, une de plus, m’amène à me poser des questions : le sionisme, idéologie fondatrice de l’Etat d’Israël, sert-il finalement le peuple juif dans la longue durée ?
Comment un peuple qui a traversé 4000 ans de sa propre histoire à survivre à toutes les épreuves s’est réduit à reproduire la même violence de ceux qui l’ont de tout temps persécuté, exterminé, pour l’investir contre ceux qui l’ont de tout temps accueilli, toléré, sécurisé, faisant fi de sa propre éthique ? Cette intelligence, par laquelle le peuple juif a pu se préserver dans son identité, lui a-t-elle servi à tirer les leçons de l’histoire pour sa propre pérennité dans la mémoire de l’humanité ? De telles questions m’ont été inspirées par la lecture d’un ouvrage d’un intellectuel juif, Jacques Attali Les Juifs, le monde et l’argent, que je venais d’entamer juste avant l’agression de Ghaza. Que le hasard fait bien les choses ! Les données sur lesquelles s’appuie cet exposé sont reprises de cette voix juive.
Mythes et principes fondateurs du judaïsme
Attaché dans sa « genèse » biblique aux mythes de « peuple élu » et de « terre promise » (la Judée et Samarie), le peuple juif ne cessera de connaître, depuis son origine, l’errance et le nomadisme. Aux mythes se superposent des principes de la doctrine hébraïque conçus par la Torah, sorte de recueil de textes jurisprudentiels principes posés par les juges de la communauté. Parmi ces principes, la recommandation religieuse de faire fortune, car, disent les juges, un homme riche est préservé de la tentation de voler et il ne peut nullement étudier et surtout donner. Avec l’argent, on évite la violence par l’achat de la paix. De cette recommandation qui procure, entre autres, un temps consacré à l’étude et donc à forger l’intellect, d’où l’excellence juive dans les sciences et les arts se greffe une seconde recommandation la « tsédaka », la charité, l’aumône, racine de notre terminologie arabe, la sadaka. Pour protéger l’identité du groupe, la tsédaka (protection sociale) est adressée à tous ceux qui risquent d’être exclus de la communauté par leur pauvreté ou par leur rébellion. Elle est fixée à 1/10e du revenu dont chacun doit s’acquitter et verser au temple. La vocation de celui-ci est le soulagement des pauvres, il devient la chambre forte qu’utilisent aussi l’Etat et les grandes richesses pour abriter leurs fortunes (l’exode). Faire fortune oui, mais sous quelle forme ? Eviter la richesse foncière, mais plutôt s’investir dans le meuble, la richesse transportable sous la forme monétaire, argent, or ou pierres précieuses. Puisque les Hébreux sont appelés, au vu des épreuves, au nomadisme, à changer perpétuellement d’espace, d’où la spécialisation du peuple juif, bon gré ou mal gré, dans le commerce, notamment celui de l’argent (la finance). Si le prêt avec intérêt est interdit par la Torah entre juifs, il est licite à l’égard des non juifs. Pris au piège par leur propre doctrine, la quête de la richesse sous forme d’argent et sa thésaurisation par l’usure devient l’enjeu du rapport des juifs avec les autres. Finalement, l’argent, qui aurait dû éviter la violence, ne fera que l’attiser. Ainsi dans l’antiquité, l’errance du peuple hébreux, plus tard nommé juif, commence dans les terres de la Mésopotamie 18 siècles avant notre ère, entre conquête de la Judée et reconquête face aux convoitises des peuples et Etats environnants : Hittites, Philistins, Apirus, Cananéens, Hykos, Egyptiens, Babyloniens, Perses, Grecs. Pour se terminer avec la destruction du second temple (à Jérusalem), en 70 de notre ère et la soumission dans l’empire romain. A l’approche de l’avènement du Christ (-300) ; c’est en Egypte que datent les premiers portraits de juifs comme « usuriers » ou « meurtriers ». L’antijudaïsme est grec, alexandrin, avant d’être chrétien.
L’antijudaïsme chrétien
L’antijudaïsme chrétien (qualifié plus tard antisémitisme) prend sa source à l’origine de l’ère chrétienne de deux facteurs. D’une part, du fait que Jésus étant Juif, c’est son peuple qui l’a tué. Par ce péché originel, les juifs ne s’affranchiront jamais de l’accusation chrétienne d’être déicide, selon l’interprétation de la « trinité » (concile de Nicée en 325). D’autre part, le fait que mis à part les proches juifs qui ont cru en Jésus, ceux de son village natal (Nazareth), désignés dans le Coran par le terme de « en naçara », les peuples qui l’ont suivi n’étaient pas les juifs, mais plutôt les païens qui vont devenir ses chrétiens. Ayant rejeté leur propre envoyé de Dieu constitue pour les chrétiens le crime incompréhensible des juifs à l’égard de Jésus. A ce conflit théologique judéo-chrétien se superpose la doctrine chrétienne quant à la richesse, à l’argent. Contrairement à la recommandation judaïque, la chrétienté glorifie la pauvreté comme marque de foi. La richesse n’est faite que pour la splendeur de l’église par les offrandes. Le rapport à la richesse matérielle est honni. Pis encore, le commerce de l’argent. Au Moyen-Age, prêter reste absolument interdit aux chrétiens : tout prêteur est considéré comme un diable qui tente l’emprunter et crée les conditions de sa ruine. Le prêt et le prêteur sont à l’image respectivement de la pomme et du serpent dans le jardin d’Eden, mais l’Eglise n’interdit pas aux fidèles d’emprunter. L’impasse est donc totale entre les besoins économiques et l’idéologie religieuse. Voilà donc les juifs devenus prêteurs de fait en même temps que soumis. Un mal, mais un mal nécessaire. Par un savant mélange de théologie et d’économie, l’Occident va bientôt se débarrasser de ses créanciers (les juifs) en les accusant de déicides. Les communautés juives vont ainsi devenir les cibles d’attaques nouvelles glissant sans cesse d’un domaine à l’autre. On en veut aux juifs d’avoir fourni leur Dieu et leur argent parce qu’on s’en veut à soi-même de ne plus pouvoir se passer ni de l’un ni de l’autre. Prêteurs de Dieu, prêteurs d’argent, on les accuse indifféremment d’être voleurs, exploiteurs, parasites, accapareurs, usuriers, comploteurs, buveurs de sang, empoisonneurs, assassins d’enfants, profanateurs d’hosties, ennemis de Dieu, assassins du Christ, jaloux de Jésus. Suite aux multitudes scènes de massacres collectifs que l’antijudaïsme chrétien fait subir aux communautés juives éparpillées dans l’Europe médiévale jusqu’aux scènes de suicides collectifs, l’église souhaite qu’on pille les juifs, mais pas qu’on les massacre : ils sont témoins de la mort du Christ. Aussi, après les avoir parqués dans des ghettos (terme vénitien), après avoir incité à les haïr et ne pas rembourser leurs prêts, elle prétend encore les protéger. A la fin du XIIIe siècle, le crédit se développe en Europe. En 1267, le concile de Vienne observe encore que les prêts juifs détournent en gages des biens que l’église lorgne et qu’ils sont devenus si nombreux et puissants que les revenus du clergé éprouvent une diminution considérable. La conclusion est vite tirée : il faut les expulser. Ainsi, la pratique du judaïsme est prohibée en Angleterre en 1272. Expulsion de 15 000 juifs qui y vivent. Même traitement pour la France. En Allemagne, expulsion de tous les juifs à Berne (1294). En 1298, massacre de 100 000 juifs installés dans les villes de foires. C’est le plus grand massacre perpétré jusqu’alors dans l’histoire des juifs d’Europe. Ces exemples ne sont que quelques-uns parmi tant d’autres faits de persécutions et d’extermination de l’antijudaïsme chrétien ayant imposé aux juifs d’Europe une insécurité incessante et une mobilité perpétuelle. Face à laquelle les juifs n’ont cessé d’approfondir aux plus petits détails du comportement l’exégèse théologique apte à préserver leur identité en toute épreuve.
soussou
Nombre de messages : 431 Age : 46 Loisirs : lecture, musique(pop,rock) internet Date d'inscription : 05/01/2008
Sujet: Re: Les religions du monde Dim Fév 15 2009, 06:30
SUITE
LEÇONS D’HISTOIRE
Que peut nous permettre cette traversée du désert du peuple juif de conclure comme leçons de l’histoire qui contrastent aujourd’hui avec l’image de sa propre histoire et qui hypothèquent son devenir ? 1) Durant la traversée de 4000 ans d’histoire, on ne peut nier le fait qu’il n’y ait pas eu un peuple au monde qui ait vécu la détresse comme l’a subie le peuple juif certes ; mais justement avec ce long cheminement, il a eu à constater dans son nomadisme que tout est éphémère. Rien ne dure. Que l’histoire est changement. Où sont les puissances d’antan ? Les Pharaons, les Babyloniens, les Perses, l’empire romain, l’empire musulman, l’empire austro-espagnol, l’empire ottoman, les empires coloniaux ? Fonder sa suprématie sur la conquête agressive en se couvrant derrière la super puissance du monde actuel, narguant l’humanité entière, croyant que cette suprématie va s’éterniser, c’est aller à l’encontre du sens de l’histoire. 2) Et quelle violence ! Celle de reproduire la même qui a donné lieu à l’holocauste : le nazisme. On reste perplexe et sans compréhension devant le fait de voir la victime d’hier s’armer de la haine sanguinaire de son propre bourreau en adoptant les thèses racistes employées pour une épuration ethnique de l’Arabe, sans scrupule et sans limite. Contre qui ? Contre celui qui l’a hébergé de tout temps, contre le monde musulman qui a constitué pour le peuple juif le seul îlot de paix où il pouvait trouver refuge quand ses alliés d’aujourd’hui le persécutaient à mort hier. Quel reniement et quelle éthique ! C’est ça «l’hospitalité de la Torah. 3) Aujourd’hui, il apparaît difficile de dissocier le sionisme du judaïsme. Les deux éléments ne sont que les deux facettes d’une même pièce. Et quelles que soient les prétentions d’Israël comme étant l’Etat laïque le plus démocratique du Moyen-Orient, ce ne sont en fait que des prétentions formelles. Il demeure fondamentalement un Etat théocratique dont le sionisme est son idéologie politique. Etre juif est synonyme de sionisme. Quel est le juif aujourd’hui qui peut se targuer de pouvoir s’affranchir de l'allégeance à l’Etat d’Israël ? Son processus d’instauration et l’impératif de sa défense ont implanté un réseau d’embrigadement dans la diaspora juive, tel que personne ne peut s’en échapper qu’il le veuille ou non. La mythologie est là pour rappeler aux juifs qu’ils sont «le peuple élu» et qu’Israël est «la terre promise». Pourtant, le sionisme, en tant qu’expression politique, sert-il en fin de compte ce peuple. A l’évidence, non. Des courants religieux, politiques, des voix libres considèrent que l’Etat d’Israël est une damnation pour le peuple juif. Trancher cette question existentielle reste l’apanage d’une prise de conscience salutaire au sein de ce peuple. 4) Le monde change et avec lui ses rapports de force. Si jusque-là, la diaspora juive a réussi à influer sur les politiques des Etats alliés d’Israël à travers ses lobbies financiers, médiatiques, scientifiques, à telle enseigne qu’elle a sacralisé le Shoah dans la perception et l’imaginaire du monde occidental, coupable de ce crime et cela, par le pouvoir des médias que le simple fait de débattre de ce tabou relèverait du négationnisme, passible de condamnation pénale. Cependant, l’instrumentalisation de l’information n’est plus du monopole du lobby juif. Aujourd’hui, la parabole et l’internet sont à la portée des puissants et des humbles. Une simple image d’un carnage est vécue en tant réel par le monde entier. Information et désinformation sont le quotidien du commun des mortels. Hier, le massacre d’une communauté juive dans un coin d’Europe était voué à l’oubli de la mémoire, étant astreinte à un espace réduit et non communiqué aux autres. Par contre, aujourd’hui avec les médias, dont dispose l’humanité, rien ne lui échappe. Le massacre de 100 000 juifs en Allemagne, les scènes de suicides collectifs auraient été aussi choquantes pour le sentiment humain (les scènes de l’holocauste nazi sont là pour en témoigner) ; mais que reste-t-il dans la mémoire de ces scènes ? Par contre, l’horreur du bombardement de Ghaza avec les corps d’enfants déchiquetés a eu comme effet d’ébranler le sentiment humain du monde entier. Rien ne pourra effacer de la mémoire humaine les traces de cette horreur pour les générations futures. Les archives médiatiques seront là pour les revivifier. Et les images que montre l’Etat d’Israël sur lui-même ne sont pas reluisantes. Elles ne font qu’attiser les rancœurs et les dégoûts du monde entier à son égard, y compris dans le camp de ses sympathies. Est-ce cette «œuvre» à laquelle aspire le peuple juif ? Un peuple honni, parce qu’il rappelle l’épouvante. 5) Il se trouvera des voix qui se diront, assurément à la lecture de cet exposé, voilà un idéaliste, un rêveur qui s’amuse à la projection-fiction, à l’histoire spéculative. Sans doute auront-ils raison. Il se trouvera toujours des tenants du sionisme qui, dans cette projection, tireront les ficelles sur le dos du peuple juif pour se faufiler entre les filets de l’histoire. Mais quelles que soient les capacités d’adaptation ou de résistance, le peuple juif a déjà entaché à jamais sa propre histoire de façon irréversible. Et ça, ce n’est pas de la «science-fiction». Il a commencé son histoire par le voyage, il la terminera par le voyage. C’est la même conclusion à laquelle a abouti finalement J. Attali, en dépit de son parti pris, en disant du peuple juif : «S’il tente de limiter son identité aux terres acquises (je dirais conquises), il est perdu.»
Par Me Ahmed Abid Historien, université d’Oran
EL WATAN DU 10 ET 11 FEVRIER 2009
caballa99
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Sujet: Re: Les religions du monde Dim Fév 15 2009, 12:14
Salam
Les religions du monde? ya que le judaïsme ici!
ya El Kos, Sion se trouve à Jérusalem, c'est une colline a El Kods, Sion de la suisse ne fait pas la référence, et même le premier congrès de ces sionistes la3anahoum ALLAH, a eut lieu a Bâle en Suisse mais pas Sion.....« le retour à Sion » était leur slogan.
vous pensez vraiment qu'il existe une grande différence entre, judaïsme et sionisme? Chrétien si vous voulez!
vous pensez vraiment, que 204 émissaires juifs, peuvent prendre la décision de conquérir la Palestine?
inna milata el koufri wahida
allah oukabar
elkoss
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Sujet: Re: Les religions du monde Dim Fév 15 2009, 14:35
Non mon ami, il y a une ville en suisse qui s'appelle sion. Et c'est de cette ville que le sort de la palestine a été scelé.
caballa99
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Sujet: Re: Les religions du monde Dim Fév 15 2009, 14:59
elkoss a écrit:
Non mon ami, il y a une ville en suisse qui s'appelle sion. Et c'est de cette ville que le sort de la palestine a été scelé.
Salam
Wallah ya khouya el Kos, l'histoire de ces juifs est plus compliquée que ça, leurs intention préalable était de se réunir en Allemagne, mais ils ont chané destination vers la suisse a cause des pressions populaire.
ya une confusion entre la ville Sion "suisse", et la colline Sion el Kods
Le sionisme (qui doit son nom au mont Sion, colline sur laquelle fut bâtie Jérusalem) est une idéologie politique prônant l'existence d'un État juif en Palestine[1]. Sur un plan idéologique et institutionnel,............ Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nation_juive
Premier congrès [modifier]
Le premier congrès se réunit à Bâle en Suisse, du 29 au 31 août 1897, et marque le tournant décisif dans l'histoire du mouvement des Amants de Sion, qui devient officiellement mouvement « sioniste-politique ». Herzl y propose son programme, qu'il qualifie de « plan de réunification nationale juive ». Un grand conseil, composé de 15 membres, y est élu, ainsi qu'un conseil restreint de 5 membres. Dans son journal, Herzl écrit : « Si je devais résumer le Congrès de Bâle en un mot, ce serait celui-ci: à Bâle j'ai foné l'Etat Juif(...). Peut-être dans cinq ans et certainement dans cinquante ans, chacun le saura. »
Source: A. GRESH, Israël, Palestine: vérités sur le conflit, Fayard, 2007. p72.
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Sujet: Re: Les religions du monde Lun Fév 16 2009, 07:18
Ya caballa, qui croire? Dernierement j'ai consulté un historien a propos du mot sionisme. Il m'a expliqué que les juifs qui étaient indésirables en europe, ont voulu créer un etat quelque part dans le monde et pas spécialement en palestine pour s'unir.A cette époque, ils ne s'entendaient pas avec les chrétiens puisque ceux ci ont renié la premiére religion révélée(judaisme).Egalement certains rabbins ne reconnaitraient que l'état qui sera instauré au retour de jesus sur terre telle que prédit leur religion. Devant tant d'adversité, certains juifs se rencontraient clandestinement a Sion qui est l'une des plus anciennes ville de suisse.A noter que la suisse etait plus tolérante et calme par rapport aus autres pays européens.Les participants aux discussions de Sion se font appeler sionistes pour ne pas eveiller l'attention des autres,et ceci bien avant le congrés de BALE.Le mont sur lequel est batie la ville de Jérusalem portant le nom de sion n'est peut etre qu'un hasard. Regarde par exemple sur l'origine des berberes: certains disent qu'ils sont originaires du yemen et d'autres de la gréce. Vas-y comprendre quelque chose!
caballa99
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Sujet: Re: Les religions du monde Lun Fév 16 2009, 08:29
Salam Oui tu as raison khouya, mais ce n'est qu'une confusion. mais c'est plus facile si tu te documentes en arabe: صهيونn'est jamais était une ville suissesse
صهيون (بالعبرية : צִיּוֹן ومعناها الحصن) هو واحد من التلين الذين كانت تقوم عليهما مدينة أورشليم القديمة حيث أسس داود عاصمته الملكية. مر ذكر صهيون لأول مرة في العهد القديم كمنطقة قام عليها حصن لليبوسيين وقعت لاحقا في يد العبرانيين لتتحول لمدينة داود ( 2 صموئيل 5: 7 و 1 أخبار 11: 5 ) ووضع على ذلك التل تابوت العهد فأصبح أرضا مقدسة ( 2 صموئيل 6: 10-12 ) ولكن التابوت نقل لهيكل سليمان بعد أن تمت عمارته على جبل المريا ( 1 ملوك 8: 1 و 2أخبار 3: 1 و 5: 2) ، فمن هاتين الآيتين يستدل بأن صهيون والمريا مرتفعين منفصلين
صهيون أو جبل صهيون (جبل النبي داود) في اليهودية هي مكان سكنى يهوه (الله) وستكون مركز خلاصه المسيحاني، وبالنسبة لليهود فأن صهيون هي وطن العبرانيين ورمزاً لآمالهم القومية، ومن هذه الكلمة جاء مصطلح الصهيونية.
ya El KOS ce Tudor hertzel, était un grand négociateur, il a su investir la maladie de l'empire ottomane, il avait le courage de se déplacer quatre fois en Turquie, pour négocier directement avec le Sultan Abdelhamide, "rahimahou ALLAH", l'achat du Palestine en jouant sur les difficultés financières de ce dernier, le Sultan refuse l'offre de hertzel, ce qui a incité ce dernier de se diriger vers ses frères Britanniques, et comme ils sont généreux ils le ont mis quatre proposition a son choix;l'Argentine, l'Angola, l'ile de sina, et la Palestine .....puis la promesse de Belfort....ou zid ou zid ou zid