De mon Algérie

A tous ces jeunes cadres algériens refoulés,
A tous ces jeunes que la mer a encore avalé,
qui n’ont eu droit à aucune place sur son sol,
Celui du pays. Une sépulture dans son sous-sol.



De mon Algérie, Il est grand temps que je sorte,
Derrière moi, sans bruit je refermerais la porte
Sans vacarmes et sans tumultes qui dérangent
Sans aucune révolte mais aussi sans mensonges.

Dans mon pays, je suis de plus en plus un étranger
Bientôt, on pourrait même voir en moi, un danger
Je repartirai seul, comme à la naissance je suis venu
Et puis, importe peu ce que demain je serai devenu.

On ne tourne le dos à un grandiose et sublime paysage
Que s’il ne montre que des parodies ou des mirages
En l’avenir et leurs promesses, je n’ai plus aucune foi
Car ils ne les ont point tenues, pas même une seule fois.

Moi, Je m’en vais vers cet ailleurs qui ne peut être pire
Que ce trou où je suis, pourtant plus riche qu’un empire
Où je brade mon honneur pour une poignée de dinars
Pendant que leurs bambins jouent avec nos milliards.

Dans ma terre patrie, non seulement on me vole ma chance
Mais jamais de mon coté, ils n’ont laissé pencher la balance
Et puis, comme un vulgaire criminel, on m’a jeté en prison
Parce que j’ai cherché mon avenir sous d’autres horizons.

Le temps a vite passé et je n’en peux plus, je dois sortir
Au plus tôt, à pieds ou même à genoux, Il me faut partir
A mon Algérie, ce beau jardin coloré, qui s’apprête à ternir
Je dis Adieu, car je ne peux continuer à le regarder agonir

che3re chebab ya kho yatic saha





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Par Jack Canfield et Mark V. Hansen
oOo

Un de nos amis marchait sur une
plage mexicaine déserte, au coucher
du soleil. Peu à peu, il commença
à distinguer la silhouette d'un
autre homme dans le lointain.

Quand il fut plus près, il remarqua
que l'homme, un indigène du pays, ne
cessait de se pencher pour ramasser
quelque chose qu'il jetait aussitôt
à l'eau.

Maintes et maintes fois, inlassablement,
il lançait des choses à tour de bras
dans l'océan.

En s'approchant encore davantage,
notre ami remarqua que l'homme
ramassait les étoiles de mer que la
marée avait rejetées sur la plage et,
une par une, les relançait dans l'eau.

Notre ami était intrigué. Il aborda
l'homme et lui dit: "Bonsoir, mon ami.
Je me demandais ce que vous étiez en
train de faire."

"Je rejette les étoiles de mer dans
l'océan.
C'est la marée basse, voyez-vous, et
toutes ces étoiles de mer ont échoué
sur la plage. Si je ne les rejette pas
à la mer, elles vont mourir du manque
d'oxygène."

"Je comprends, répliqua notre ami,
mais il doit y avoir des milliers
d'étoiles de mer sur cette plage.
Vous ne pourrez pas toutes les sauver.
Il y en a tout simplement trop.
Et vous ne vous rendez pas compte que
le même phénomène se produit probablement
à l'instant même sur des centaines de
plages tout le long de la côte?
Vous ne voyez pas que vous ne pouvez
rien y changer?"

L'indigène sourit, se pencha et ramassa
une autre étoile de mer.
En la rejetant à la mer, il répondit:

"Ça change tout pour celle-là!"

Travailler pour un salaire de misère,
faire toujours des heures supplémentaires,
il avait décidé de voir son patron
afin de lui parler augmentation;

"Patron,j'ai six gosses à nourrir,
une maison,une femme à entretenir,
des factures qui restent impayées,
alors patron,il faut m'augmenter!".

Costard-cravate se met à réfléchir,
puis se lève,avec un petit sourire,
en face de lui ce petit ouvrier
qui a eu le courage de l'importuner;

"Je sais que la vie est difficile,
moi-même j'ai du mal à suivre le fil,
ma Mercédes me coûte une fortune,
mes maîtresses sans cesse m'importunent,
mes châteaux qui tombent en ruine,
cet été,même pas pu profiter de ma piscine
car l'entreprise me prend tout mon temps,
et tout ces rendez-vous dans de bons restaurants;
vous savez,vous avez de la chance,
après le boulot,oublier les soucis;
vous vivez dan l'insouciance
alors que moi,je n'ai pas fini;
quand je rentre le soir
j'ai à peine le temps de fumer mon cigare;
Non,vraiment mon ami,
vous augmenter serait une folie;
vous savez,l'argent ne fait pas le bonheur,
je suis bien placé pour le savoir,
en avoir trop est une erreur,
vous éviter cet ennui est mon devoir;
alors,retournez à votre labeur
et profitez de votre bonheur!".

Et voilà l'employé qui quitte le bureau
avec un air triste et penaud,
tout juste s'il n'allait pas pleurer
sur le sort de son "pauvre" P.D.G.;
quand ses collègues alors le questionnent
si le patron l'aurait eu à la bonne,
ce pauvre naïf leur répond
qu'il n'y a pas plus malheureux qu'un patron!!

merci infiniment Addymasien pour tes jolie peome

khouya Addymasien bravoo pour la 2eme fois vous etes top merci khou

ya khouya Addymasien kachema adjibana kache chi3ere a3ela gaza

mila ab3atlake atbakamte aya madoumondinache