Enfin de l'EAU à Dellys...!!!

BOUMERDÈS : L’eau de Taksebt à partir de juin

De nombreuses communes de l’Est de Boumerdès bénéficieront à partir de juin prochain des eaux du barrage Taksebt de Tizi-Ouzou, à la faveur de la concrétisation de la seconde tranche du projet de transfert des eaux de ce barrage vers la capitale, a-t-on appris de la direction de l’Hydraulique.
Cette seconde phase de ce projet, lancée en 2007, est scindée en deux parties : la première sera entamée à la fin du mois prochain, avec le lancement des essais au niveau du réseau des conduites d’approvisionnement en AEP des communes de Ouled Aïssa, Sahel Boubarak, Cap Djinet, et de nombreux villages limitrophes, a-t-on précisé.
La seconde partie sera, quant à elle, réceptionnée en juin prochain, et profitera aux communes de Dellys, Afir, Sidi Daoud et Ben Choud, ainsi que de nombreux villages relevant de ces localités, en plus des communes de Bordj Menail et Cap Djinet, est-il précisé.

A sa concrétisation totale en juin 2009, cette seconde tranche de ce projet de transfert profitera à quelque 200.000 habitants de Boumerdès qui seront approvisionnés avec un volume global de 69.000 m3 d’eau à travers 57 km de réseaux Aep et 04 réservoirs
d’eau d’une capacité unitaire de 13.000 m3 d’eau, est-il souligné.

Les communes situées en hauteur, à l’instar de Dellys, Ben Choud, et Ouled Aïssa, seront alimentées par voie de stations de pompage, estil, par ailleurs, indiqué. Cette seconde tranche du projet de transfert des eaux de Taksebt vers Alger a coûté la bagatelle de 1,6 milliard de DA, selon la même source.
Pour rappel, la première tranche de ce projet a été réceptionnée en mars 2008. Elle a profité à un bassin de population de quelque
328.000 habitants, répartis sur 12 communes de Boumerdès, dont une majorité a bénéficié d’un renouvellement total de son réseau
AEP et est aujourd’hui approvisionnée avec une eau de «qualité supérieure», assure la même source. Il s’agit des communes de
Bordj Menail, Issers, Thénia, Souk El-Had, Si Mustapha, Zemmouri, Ammal, Béni-Amrane et Naciria, au moment où les localités de Boumerdès, Corso et Tidjelabine ont vu leurs dotations journalières portées à la hausse.

En tout, c’est un volume quotidien de 52.000 m3 d’eau qui est destiné à l’ensemble de ces communes.
S’agissant de la troisième et dernière tranche du projet, elle en est toujours à la phase d’inscription, selon la même source, qui estime son coût à 2,2 milliards de DA pour une durée de réalisation de 18 mois. Son lancement est prévu au courant de cette année, est-il signalé. Ce projet arrosera, dans sa dernière phase, l’ensemble des communes de Ouled Hadadj, Khmiss El-Khechna, Ouled Moussa, Keddara et Kharouba, ainsi qu’une partie des localités de Boudouaou et Laabatache, soit une population globale estimée à 170.000 habitants.
La concrétisation de cet objectif nécessitera la réalisation de 30 km de réseaux Aep supplémentaires, 03 réservoirs d’eau d’une capacité unitaire de 4.000 m3 et une station de pompage. Ce projet de transfert dans sa partie traversant Boumerdès vise à pourvoir 80 % des besoins en eau potable de la wilaya de Boumerdès, soit de quoi garantir une alimentation en H24 des ménages de la région, selon les prévisions de la direction de l’Hydraulique.
Source : Le Quotidien d’Oran du 14.012009

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merci james de la nouvelle esperant une amelioration a l electrecite et telephone

La gestion de l'eau à Dellys est catastrophique. Cette saison, avec des pluies régulières depuis le mois d'octobre, les coupures d'eau sont devenues courantes à Dellys.

Nous espérons que la situation va s'améliorer.

Espérez-vous heureux ! dans la région ou je vie, on reçoit l'eau a peu prés 3 heures par jour et ce depuis belle lurette. Il n'y a pas une maison qui n'est pas dotée d'une citerne et d'une pompe. La pression est tellement faible,que l'eau n'atteint même pas le premier étage sans pompe. Et pourtant notre région git sur une nappe d'eau pour ne pas dire mer allant jusqu'en lybie. Et vous imaginez sans doute, le calvaire des ménages durant les chaleurs torrides du printemps - été.

Superbe nouvelle, j'éspére que ce calvaire cessera bientot..il fut une période, fin des années 90' ou nous sommes resté pendant plusieurs mois sans Eau, Electricité, Téléphone et Gaz, c'était le retour a l'ére des hommes des cavernes, la galére totale, a ce demander comment on n'a pas été frapper par des épidémies..rabi yasterna.

merci james pour cette nouvelle

Le secrétaire général du ministère l’a déclaré hier
Eau potable : le taux de raccordement a atteint 85%

Entre 2000 et 2008, l’Algérie a dépensé plus de 20 milliards de dollars dans le secteur des ressources en eau.
Mobilisation des ressources conventionnelles et non conventionnelles, réhabilitation des structures et stations de traitement, réforme du système juridique… sont autant d’actions menées jusque-là par le département de M. Abdelmalek Sellal pour mettre en œuvre la stratégie fixée depuis 1999. En l’espace de 10 années, il a été construit 16 barrages d’une capacité de 3,3 milliards de m3/an. Mais l’ambition du ministère de tutelle est beaucoup plus importante. Le but tracé est de réaliser 72 barrages à la fin de l’année 2009.
Dans le domaine de la mobilisation et de la distribution de l’eau potable, les efforts entrepris durant la décennie en cours, et notamment les cinq dernières années, ont permis d’enregistrer des améliorations sensibles. Ainsi, alors que le pays ne possédait que 44 barrages seulement jusqu’en l’an 2000, 16 nouveaux barrages ont été mis en exploitation durant les cinq dernières années dont ceux de Béni Haroun et de Taksebt en 2007. Avec les 13 barrages en fin de réalisation, ce nombre sera porté en effet, à 72 barrages à la fin 2009.
Les réceptions attendues porteront les capacités de mobilisation de l’eau des barrages à 7,8 milliards de m3/an à la fin de l’année 2009, contre 2,2 milliards de m3 en 2000. Par ailleurs, nombre de ces nouveaux barrages sont intégrés dans de véritables grands systèmes de transfert, tels celui de Béni Haroun, qui englobe 5 barrages (Béni Haroun, Oued El-Athmania, Ourkis, Boussiaba, Koudiat M’daouar) au bénéfice des wilayas de Mila, de Constantine, de Khenchela, d’Oum El-Bouaghi et de Batna. Celui de Koudiat et de Acerdoune, au bénéfice des wilayas de Bouira, de Tizi Ouzou, de M’sila, et de Médéa. À ajouter celui
de Mostaganem, d’Arzew, d’Oran (MAO), qui englobe les barrages de Chlef, de Kerrada au bénéfice des wilayas de Mostaganem et d’Oran. À ces grands transferts à partir des barrages, s’ajoute celui en cours de réalisation sur 740 kilomètres pour alimenter Tamanrasset à partir de In-Salah. Parallèlement, un important programme de dessalement d’eau de mer a été engagé et recouvrira à la fin de l’année 2009, un total de 13 stations avec une production de près de 2,26 millions de m3/jour, soit 825 millions de m3/an. Cette quantité représentera près de 1/3 des capacités de retenue des barrages qui existaient jusqu’en 2000.
Le secrétaire général du ministère des Ressources en eau, M. Zidane Merah, qui a ouvert hier les travaux du colloque international en marge du salon Pollutec au Palais des expositions des Pins-Maritimes, a indiqué que le taux de raccordement à l’eau potable est passé de 78% à 85% actuellement. Ce programme stratégique, faut-il le souligner, est destiné à libérer le pays de la dépendance de la pluviométrie pour l’alimentation en eau potable des populations des régions côtières, et notamment dans l’ouest du pays qui souffre d’un grave déficit chronique en pluviométrie. Deux stations sur les 13 sont déjà en production à savoir celle d’Arzew pour Oran et celle d’El-Hamma pour Alger, alors que près de 10 contrats de réalisation ont déjà été conclus avec des chantiers lancés ou en cours de lancement. La mobilisation de la ressource hydrique pour l’alimentation en eau potable s’accompagne aussi de la réhabilitation et de l’élargissement du réseau de distribution.
Parmi les grandes opérations achevées dans ce domaine, l’on citera les réalisations, la réhabilitation et la rénovation de réseaux d’approvisionnement en eau potable qui ont bénéficié à 11 wilayas à savoir : El-Tarf, Annaba, Béjaïa, Bouira, Jijel, Tissemsilt, Tlemcen, les villes d’Oran, de Constantine, de Sidi Bel-Abbès, ainsi que l’ouest d’Alger. Le réseau national d’alimentation en eau potable totalise désormais 60 000 km. En outre, le souci de mieux gérer la ressource en eau potable a amené les pouvoirs publics à conclure des contrats de gestion des réseaux de distribution, avec des sociétés spécialisées au niveau des grandes villes dont Alger, Oran, Constantine et Annaba. L’ensemble des efforts nationaux pour l’alimentation de la population en eau potable a permis d’atteindre les résultats suivants : la dotation moyenne par habitant en eau potable atteint actuellement 165 litres, alors qu’elle n’était que de 123 litres en 1999 et de 160 litres l’année dernière. Par ailleurs, la fréquence de la distribution de l’eau au niveau des 1 541 chefs-lieux de commune, a enregistré une évolution même si elle reste encore insuffisante. C’est le cas de la capitale dont la distribution est gérée par la société Seaal. En trois ans de contrat, cette entreprise a pu alimenter 85,6% des foyers en H24. Selon un de ses responsables qui a pris part à ce colloque, un taux de 100% d’alimentation en eau potable (AEP) en H24 sera atteint vers le mois de septembre prochain. La commune d’Alger-Centre, en revanche, n’aura pas de l’eau quotidiennement, car, a-t-il expliqué, sa topographie est trop mouvementée. Pour Alger, 52% des ressources viennent des barrages, 31% des nappes souterraines et 17% sont issus de la station de dessalement de l’eau de mer. Cela étant, cet intervenant avoue que des perturbations persisteront à cause des divers travaux projetés sur le réseau.
Par :Badreddine Khris
Source: Liberté du 17.06.2009

DELLYS: Réseau AEP vétuste

Depuis plus d’une année, les habitants des quartiers sis à l’entrée ouest de la ville de Dellys ne reçoivent l’eau potable qu’à raison d’une heure par jour.

« Nous recevons l’eau durant la nuit et parfois nous la trouvons sale et inconsommable. Nous avons exposé le problème aux autorités locales à maintes reprises, mais rien de concret n’a été fait à ce jour », nous dira une vieille femme du quartier Sidi El Madjni. Selon elle, « les services concernés qui y sont intervenus n’ont effectué que de légères réfections. Alors que la solution réside dans le renouvellement du réseau AEP puisque le réseau actuel est très vétuste et contient de l’amiante ». Le même problème se pose également au niveau de l’hôpital de la ville. Ici, un infirmier assurant la garde durant la nuit indique : « Parfois nous sommes obligés d’attendre jusqu’à 7h pour laver nos mains.

Alors que l’établissement doit être approvisionné en ce liquide 24/24 ». Ainsi, les habitants que nous avons rencontrés soulignent que ce calvaire touche toute la population habitant l’ouest de la ville. « Le réseau par lequel nous sommes approvisionnés, en l’occurrence celui de Tagdamet est dans un état de vétusté trés avancée depuis 2003. Mais à défaut de le refaire pour résoudre définitivement le problème, les responsables préfèrent attendre encore et effectuer des petites réparations qui ne sont en fin de compte que de l’argent jeté par les fenêtres », dénoncent les habitants.

Par z. zakia
Source: EL WATAN du 21.07.2009

Il a été installé hier par Abdelmalek Sellal: Abdellali Tir à la tête de l’Autorité de régulation des services publics de l’eau

M. Abdelmalek Sellal, ministre des Ressources en eau, a installé ce jour mercredi 19 août 2009 au siège du ministère des Ressources en eau M. Abdellali Tir dans les fonctions de président de l’Autorité de régulation des services publics de l’eau. Les missions de l’autorité sont : de veiller au respect par les concessionnaires et les délégations des services publics de l’eau, des obligations qui leur incombent ; d’examiner les réclamations des usagers des services publics de l’eau et formuler toutes recommandations utiles ; d’observer et d’évaluer les indications de la qualité du service fourni aux usagers par les organismes exploitant les services publics de l’eau ; de procéder à l’analyse des charges dans le cadre du contrôle des coûts et des tarifs des services publics de l’eau ; de formuler un avis sur les opérations de partenariat.
Source: Liberte du 20.08.2009

Bonjour,
Bonjour je reviens a ce sujet car il y a pire que le délestage d’Internet… vous avez oubliez le délestage d’EAU…!!!

C’est incroyable comment l’indisponibilité de l’eau dans les robinets des maisons Dellyssiennes n’est plus ni d’actualite ni une revendication citoyenne. 10ans, 15ans, 20ans... de bricolage et personne n’ose resoudre ce probleme grave.
Messieurs les responsables où en est ce projet ?

Salutations
James

Malgré la piètre qualité des services de l'algérienne des eaux à Dellys et les coupures fréquentes ,on se permet de vous couper l'eau sans vous avertir.Jugez-en.
J'ai toujours été à jour en ce qui concerne le paiement de mes factures d'eau.La dernière fois,j'ai mis du retard pour honorer deux factures parceque j'avais un problème d'argent.J'avais l'intention de m'acquitter de la somme que me doit l'ADE dès que l'argent que j'attendais allait entrer dans mon compte.J'ai pensé que l'eau ne me serait coupé qu'après l'arrivée de la troisième facture.Et voilà qu'un jour,j'ouvre le robinet et il n y a pas d'eau.J'ai pensé à une coupure ordinaire.Heuresement que j'avais de l'eau en réserve.Je l'ai utlisée pendant trois jours,avant qu'un voisin ne me dise que les gens de l'ADE sont venus et m'ont coupé l'eau,mon compteur étant situé à l'extérieur de la maison,n'importe qui peut l'ouvrir ou le fermer.Je ne peux pas vous dire toute la colère que j'ai ressentie à ce moment.ils sont venus me couper l'eau un jeudi soir,vendredi et samedi ils ne travaillent pas.Il ne m'ont rétabli l'alimentation en eau potable que le lundi,parès avoir payer la somme dûe en plus d'une amende qui avoisine les 600 DA.Et quand je suis aller payer,le guichetier me sort ,contre toute logique,l'ordre de coupure agraffé à mes factures impayées.Cet ordre de coupure devait normalement m'être délivré pour que je sache en moins qu'on m'a coupé l'eau.Avez-vous jamais entendu parler d'une gestion pareille?On s'en fout des gens comme ce n'est pas permis dans ce pays!!
Et puis,on paye une taxe pour la qualité d'une eau que nous recevons comme l'eau des égouts dans nos robinets.

La chimie nous a appris que l'eau est incolore, inodore et sans saveur. A Dellys, c'est tout le contraire. Et en plus, on doit payer une taxe pour avoir cette qualité douteuse !!! Quelle honte.

Bonjour,
Ce sujet me tiens personnellement a cœur et je souhaiterai bien qu’il y ait beaucoup plus de témoignages de nos citoyens pour pouvoir surélever cette affaire a sa résolution.
En attendant je vous fais part de l’armada des lois juridiques qui régissent les Eaux Algériennes.

http://rapidshare.com/files/339725577/Loi_-_Eaux.pdf.html

Salutations
James