LE CHATEAU FAURE DE DELLYS

À propos
M. Faure, considéré dans son époque comme étant, disant un notable, parmi les notables Français à Dellys (Il était un propriétaire de bien). Ce dernier en allant se faire construire une maison, exactement en faisant les fondations de sa maison il avait déterré une tête de femme diadémée, en marbre, un peu plus grande que nature, décrite par des archéologues comme étant une Venus, sa sculpture était assez bonne et paraît du premier ou du second siècle de notre ère. Cette dernière fut transportée à l'école des Arts et métiers ( Il faut se rappeler que Dar San3a ainsi que le Mess militaire,à l'époque, étaient le lieu ou on ramassait tout le patrimoine de Dellys pour ensuite l'expédier en France).

Un écrivain historien de l'époque, M. GSELL, disait dans son livre( QUELQUES MONUMENTS FIGURÉS DÉCOUVERTS EN ALGÉRIE): Je dois à l'obligeance de M. Lacour, directeur de l'école des Arts et métiers de Dellys, la photographie d'une tête de femme diadémée, en marbre, un peu plus grande que nature (''. Elle appartient à M. Faure, propriétaire à Dellys, qui l'a trouvée en faisant les fondations de sa maison)

Cette dernière a fini ( Malheureusement )comme tout le patrimoine ancien de Dellys au Musé du Louvre à Paris. Cette dernière vu sa splendeur se trouve exactement au pavillon des appartements Napoléon III. Elle a beaucoup inspiré des artistes par sa beauté.
Pour conclure, je pense définitivement que c'est cette découverte qui a inspiré M.Faure pour la suite à l'architecture à donner à sa maison et donc de château Faure. Et c'est cela qui explique son architecture. Il a dédié cela à sa femme, ou il lui avait fait honneur ou encore une expression d'amour, cela est fort probable par contre je sais une chose. Château Faure avant qu'il en soit ainsi était déjà un monument historique et que cette symbolique, dépasse au large le reste.



Diadème:
Prononciation : di-a-dê-m'
Etymologie : Provenç. espagn. et ital. diadema ; du latin diadema, terme dérivé de deux mots grecs signifiant par et lier.
D'autres citations
Bandeau de laine, de fil ou de soie, enrichi de pierreries, broderies et autres ornements, dont les souverains et souveraines se ceignent le front. Il se dit aussi d'une coiffure de femme, composée ordinairement d'un cercle.